Valentin Delbreil

Atterrissage « en douceur » — Que fais-tu Iole ? — J’essaie d’atterrir, Timothy. Ce n’est pas simple avec tout ce vent. — Attention une branche ! — Merci ! Continue de t’accrocher ! Des branches et des feuilles empêchent Iole d’atterrir correctement. Nos deux amies ont réussi à se rapprocher du sol, mais c’est encore

Vole petite fourmi, vole !  Iole, la luciole est bien décidée à aider notre amie. — Tu sais quoi, je vais t’aider à rentrer chez toi ! — Ô merci Iole ! Merci beaucoup pour ton aide ! Avec ses ailes et sa lumière, Timothy a de grandes chances d’être avec sa famille avant le

Une amie étincelante Notre jeune amie continue de passer la nuit dans le froid. Il se passe de drôles de choses dans cette forêt dense : des petits bruits tous aussi étranges les uns que les autres, et différents de ceux qu’elle a déjà entendus au début de son aventure. Dans sa marche d’aventurière, elle aperçoit une lueur

Du sable ! Les yeux fermés et la bouche ouverte, Timothy est sous l’emprise des variations de l’eau. Faible et complètement démunie par la situation, elle se laisse porter par les vagues avant qu’elles ne l’ensevelissent. Miraculeusement, notre amie se réveille, allongée sur ce qui semble être du sable fin. Timothy tousse de toutes ses forces afin d’évacuer

De l’eau ! Timothy est fatiguée. Ça ne paraît pas comme ça, mais marcher et courir demandent beaucoup d’énergie. De plus, notre amie n’a toujours pas de nourriture. — Oups ! Je crois bien que mon ventre gargouille… Il faut que je trouve à manger. Si seulement je pouvais avoir quelques petites miettes et de l’eau ?

L’aventurière Aujourd’hui, c’est la toute première excursion dans cette flore sauvage pour notre amie Timothy. À peine le nez dehors que notre amie s’est perdue. La voilà seule, les yeux écarquillés, à se demander comment elle va bien pouvoir faire pour retrouver ses copines et rentrer chez elle, sans oublier de ramener la nourriture… Si, au départ,

La fourmilière Dans les herbes les plus profondes, même celles de son jardin, se cache une multitude de petits insectes que l’on ne peut pas voir avec des yeux d’humain. Lorsque l’on joue dans l’herbe, on peut apercevoir de minuscules fourmis qui se déplacent les unes derrière les autres. Elles ne sont jamais toutes seules.